Origine des noms des rues de Meuilebeik |
< Cette rue n'existe plus mais notre amis Robert Podevijn l'a retrouvée et localisée > N'y aurait-il pas ici erreur sur la chose ? Ni le Littré ni le Robert, ni même le Larousse ne connaissent ce mot. Le seul qu'ils consentent à signaler, dans le genre, c'est " canzone ", et ils assurent qu'il s'agit d'un petit poème italien divisé en stances égales. Et pour bien prouver qu'ils ne plaisantent pas, ils citent les canzoni (pluriel : canzoni, en effet i) de Pétrarque. On entend souvent, dans le langage courant, dire d'un tel ou d'un tel qu'il pousse la canzonetta. Mais à Molenbeek on a franchi le pas et francisé le mot italien. La nouvelle n'en est pas encore parvenue à l'Académie française. |
Jonathan Swift, pour sa part, estimait que « les caprices de l'espèce femelle ne sont pas bornés à une seule partie du monde ni à un seul climat, mais sont en tous lieux les mêmes ».
La Rue de la Sacristie, elle, a disparu de la toponymie en mars 1928 et a été remplacée par la RUE DU PRADO
Manifestement on n'a pas voulu dire Cendrillon, ce qui donne ce mot bizarre qui est la francisation abusive du nom anglais de la petite danseuse de minuit. Avec la Belle au Bois Dormant, c'est un double hommage cependant à un écrivain français qui avait nom Charles Perrault.
A-t-on seulement pensé que ce vilain oiseau avait donné son nom à une escadrille de la Luftwaffe nazie qui, opérant en Espagne mit Guernica à son tableau de déshonneur ?
Il y a de ces choses qui ne sauraient souffrir le moindre délai !
Le phénomène est assez significatif - celui des propriétaires plaquifiés systématiquement - pour qu'on s'y arrête. Dans une commune qui, au siècle dernier était à dominante ouvrière et où le socialisme rencontra ses premiers adeptes, il est singulier de constater cette propension pour les possédants. Mais est-ce si singulier et, le faisant, les nantis ne voulaient-ils pas affirmer leur prééminence sur le petit peuple ? Cette glorification de la fortune et de la propriété ne devait-elle pas inciter au respect, à la docilité, au silence ? Est-il normal de s'en prendre à quelqu'un dont le nom a été donné à une rue et cette reconnaissance officielle et administrative des mérites d'un citoyen ne doit-elle pas le mettre a l'abri, sinon de l'envie, du moins des agressions ?
C'est tout le système social du XX ème siècle qui est illustré par cette manie. D'un côté le populaire tout juste bon à travailler quinze heures par jour et à se taire ; de l'autre la classe possédante qui n'a pas besoin de la vertu de résignation. Finalement, le fait même que toutes ces rues aux noms aujourd'hui inconnus et qui ne disent plus rien à personne soient privées du prénom de l'heureux homme, ce fait-là ne prouve-t-il pas que la familiarité était interdite avec ceux-là qui étaient « propriétaires » ? On voulait bien dire rue Tazieaux. Il eût sans doute été dangereux de livrer au populo le prénom de l'individu.
La révolution commence à la familiarité ! La RUE HAECK rappelle Laurent Haeck qui, au siècle demier, possédait une ferme dans ce coin et était bourgmestre de Jette St Pierre. Un Antoine Haeck habitait Molenbeek au début du siècle XX. Il était receveur communal à Jette Saint Pierre. On pense qu'il était parent du Haeck propriétaire.
DE RUDDER a moins de chance. On sait seulement qu'il fut propriétaire (cela suffit !), sauf à dire que certains lui attribuent un petit "d" et que ce petit "d" se retrouve dans la liste officielle des noms de rues. Place EDMOND LEROY, ici nous en savons un peu plus. L'homme a habité rue Birmingham au numéro trente-et-un. Il était né à Soignies le 3 novembre 1859, était veuf Dassy et rejoignit son épouse le 2 juillet 1936.
Encore un propriétaire : SCHMITZ qui possédait une tannerie dans le quartier ou THOMAS VAN HEMELRIJCK qui, si cela se trouve, est un parent du ministre Maurice Van Hemelrijck, l'homme d'Etat disparu qui laissera un nom dans l'histoire des relations entre la Belgique et le Zaïre. VAN CAPPELLEN, qui donna son nom à une cité, était lui aussi propriétaire. A l'image de D'HONDT, titulaire d'une impasse ou DE SCHAMPHELEER (rue), DE GENEFFE (impasse), HALLEMANS (impasse), HUYGENS (rue), JOORS (cité), DARIMON (impasse), DE KONINCK (rue), DE BONNE (rue). Je crains qu'il ne faille ajouter à ce régiment marchant au pas au son des pièces de monnaie qui tintent dans l'escarcelle les noms glorieux de VAN HAM (impasse), VAN HOEGAERDE (rue), DE RAEDT (rue),`VAN KALCK (rue) et, peut-être VERHEYDEN (rue).
Encore que pour ce dernier on puisse hésiter. En effet, les édiles ayant négligé de préciser le prénom du célèbre Verheyden dont question on est autorisé à imaginer qu'il pourrait s'agir D'Isidore (qui possède déjà sa rue à Ixelles) ou de Jean-Baptiste, plaquifié à Woluwe Saint Pierre. Si vous pensez qu'il s'agit de l'un ou l'autre de ces heureux ...
Il demeure, en tous cas, que pour tous ces illustres, les archives communales sont muettes.
"La propriété, c'est le vol !" (Proudhon)
"Il n'existe seulement que deux familles dans le monde : ceux qui possèdent et ceux qui ne possèdent pas." (Cervantès)
Lettre D :
< Square aujourd'hui disparu, il se situait sur le boulevard Mettewie et débouchait sur la fin de l'avenue du Condor > Ovide Decroly, docteur en médecine, professeur extraordinaire à l’université Libre de Bruxelles, inspecteur adjoint au Ministère de la Justice ; président de la société belge de Pedotechnie ; Chevalier de l'Ordre de Léopold, officier de l'Ordre de la Couronne, titulaire de la médaille du Roi Albert avec liseré d'or (la médaille, pas le Roi), Commandeur de l'Ordre d'Alphonse XII, né à Renaix, le 23 juillet 1871, est mort à Uccle, le 12 septembre 1932. |
Épuisé par le surmenage, le Dr Decroly ont tombé brusquement terrassé. Mais il ne fut pas surpris par la mort. Sur sa table de travail, le jour même où il succombait, on trouva parmi ses papiers cette phrase inachevée et dont l'encre à peine était séchée :
"C'est une grande joie pour celui qui a poursuivi une œuvre pendant un quart de siècle et qui sent que bientôt va venir le moment du départ et de l'éternel repos, de voir que son effort n'a pas été vain et que, même quand il ne sera plus, d'autres continueront à..."
A l'heure même où il allait mourir, Decroly exprimait ainsi la foi en son œuvre qui fut toute de science et de cœur. Sorti docteur de l'université de Gand, et après avoir passé quelques années dans des laboratoires de biologie a Berlin et à Paris, Decroly consacra ses efforts à étudier la vie dans toutes ses manifestations. On retrouve à chaque pas le biologiste jusque dans ses recherches sur les lois de l'éducation qui ne doivent être que le prolongement des lois de la vie. Ses travaux ne sont point de pure technique savante, mais dominés par la pensée du pédagogue spécialement attiré vers l'enfant anormal.
A priori, il se refuse à le considérer comme un paria. Il ne le rejette point ; il lui réserve une place à part et demande qu'il soit l'objet d'une éducation appropriée. Haute pensée d'une moralité supérieure qui mène le savant pédagogue à postuler que l'école doit être adaptée a l'enfant.
Précurseur, Decroly connut les amertumes et les sarcasmes qui accueillent les précurseurs ; mais il connut aussi les amitiés profondes, les disciples fidèles.
Ovide Decroly était également président du «Foyer des Orphelins» de Molenbeek qui décidait, un mois après sa mort de donner son nom à un square de la commune. La décision date du 4 octobre 1932...
Né à Boussu, le 1 février 1825, Il fut plaquifié en octobre 1903. Avocat à la Cour d'Appel de Bruxelles, il habitait l’immeuble situé au 26, chaussée de Gand. F. Livrauw donne un résumé de sa carrière dans «Le Parlement belge en 1900-1902»: « Fit ses études aux Collège et Lycée de Mons, à l'Athénée Royal de Bruxelles et à l'U.L.B. où il conquit brillamment tous ses grades. Reçu docteur en droit, le 11 mal 1848. Nommé sénateur pour l’arrondissement de Bruxelles aux élections du 27 mai 1900. Président du Bureau provisoire à la session extraordinaire de 1900 et de la session ordinaire de 1900-1901. |
Il fut le premier, en Belgique, à revêtir le titre de Premier Ministre. Avant cela on parlait du président du Conseil. C'est en 1918 que Léon Delacroix fut appelé à ces fonctions par le Roi Albert Ier. Il présida l'équipe connue sous le nom de «gouvernement de Loppem» parce que c'est dans cette localité où était installé son Quartier-Général que le Roi mena les consultations qui aboutirent à la mise sur pied de ce premier gouvernement triparti de la Belgique d'après-guerre. Delacroix était catholique. Du côté socialiste, il y avait, comme leader, Emile Vandervelde et Paul Hymans du coté libéral. C'est le gouvernement Delacroix qui instaura le suffrage universel selon une procédure inhabituelle, commandée par l'urgence de la réforme à entreprendre. En effet, il était difficile de ne pas accorder immédiatement le droit de vote à tous les citoyens. Mais une telle mesure impliquait une révision préalable de la Constitution, procédure fort longue et nécessitant une dissolution préalable des Chambres et des élections selon le système ancien. Ce n'était politiquement et raisonnablement pas possible. Aussi le gouvernement contourna-t-il la difficulté en instaurant le suffrage universel, violation évidente de la Constitution qu'il fit régulariser par la suite. |
Le nom de Delaunoy a dû être attribué à cette artère vers le milieu du siècle dernier puisqu'on l'appelait dejà ainsi en 1851.
Au numéro 20 de la rue Delaunoy, à Molenbeek, était installé un « immeuble remarquable ».
Alphonse Wauters en parle :
Entre les rues de l'Indépendance et de Lannoy (curieuse orthographe pour Delaunoy...) un jeune industriel d'une grande activité, M. Pauwels, a fait construire d'immenses ateliers de menuiserie et de charronnage qui travaillent principalement pour les chemins de fer. Afin de fournir à ses ouvriers des logements à la fois commodes et salubres, il a annexé à sa fabrique une cité-ouvrière qui peut servir de modèle en ce genre. Le plan et la description de cette cité-ouvrière ont été publiés dans le journal français L'illustration, dans son numéro du 15 novembre 1851.
Il fallait que l'initiative de Pauwels fût vraiment inhabituelle pour qu'un journal français de 1851 se décide à envoyer à Molenbeek un reporter. Le journaliste parisien ne cesse de s'extasier sur les innovations de l'industriel molenbeekois.
Nous avons retrouvé ce numéro de l'illustration - Journal Universel du 15 novembre 1851.
Nous ne résistons pas au plaisir de citer le passage consacré aux établissements Pauwels par le reporter français venu à Molenbeek-Saint-Jean. Le ton de l'article est inimitable, caractéristique de l'état d'esprit qui régnait en ce milieu du XIX siècle le paternalisme capitaliste sévissait dans toute sa nue beauté et sa gloire étincelante.
Qu'on en juge :
Il est à peine nécessaire d'insister sur ce fait, d'en faire ressortir les avantages.
Nous publions aujourd'hui le dessin d'une cité ouvrière érigée dans l'un des faubourgs de Bruxelles, et qui mérite d'attirer l'attention, sinon par les proportions modestes dans lesquelles elle est construite, au moins par l'heureuse initiative de son fondateur.
L'organisateur de cette maison est M. F. PAUWELS.
Bien qu'ouverte à tous les artisans, sans distinction d'état, la cité est principalement habitée par les ouvriers qu’emploie M. Pauwels dans ses vastes ateliers de construction, dont elle est une dépendance.
Nos lecteurs nous sauront gré d'en donner une description succincte.
A l'extérieur de la porte d'entrée se trouve adaptée une ouverture que surmonte une plaque de cuivre où sont inscrits les mots : Boîte à lettres. L'appartement du contremaître de la fabrique, qui est en même temps concierge, s'ouvre à gauche dans le vestibule. Il se compose de trois pièces parfaitement appropriées. - Le vestibule est dallé en marbre ; une porte vitrée qui en occupe le fond s'ouvre sur un jardin parfaitement entretenu. Là sont les urinoirs, les lieux d'aisance, la pompe construite de façon à pouvoir servir en cas d'incendie. On y applique aisément les tuyaux qui doivent conduire l'eau aux étages.
A droite de la porte d'entrée se trouve la salle d études des tables en chêne, une chaire, des bancs pareils, des réflecteurs accrochés aux murs, un tableau noir, un poêle économique en constituent l'ameublement. Vis-à-vis est la bibliothèque, dont les livres choisis sont à la disposition des locataires.
A côté de cette dernière pièce débouche un escalier commode, à l'aide duquel on descend dans un souterrain tel qu'il est rare d'en trouver dans les maisons bourgeoises les mieux construites. Ce souterrain se compose d'une buanderie dont la cuve alimente une baignoire placée dans un cabinet voisin, d'une cuisine où chauffe de l'eau pendant toute la journée ; d'un réduit dans lequel des cases superposées le long des murs et fermant à clef portent un nombre de numéros égal à celui des chambres de l'étage. Chaque locataire possède une de ces cases où il enferme ses provisions, ses ustensiles, sa vaisselle.
Enfin, à côté se trouve une cave parfaitement sèche et voûtée.
Remontons au rez-de-chaussée, et par un escalier large et commode jusqu'au premier étage. Là un corridor correspondant au vestibule d'en bas. Il est éclairé du côté de l'escalier et du coté de la rue par la porte vitrée de la lingerie, où les draps et les essuie-mains en forte toile flamande sont disposés d'après les soins de la femme du concierge. Des deux côtés du corridor s'ouvrent deux petites allées portant à chaque paroi des portes numérotées. Ces portes sont celles des chambres à coucher.
Celles-ci sont meublées d'un lit en fer avec matelas à ressort, d'une espèce de meuble qui sert de lavabo qui peut se disposer en pupitre et au bas duquel est pratiquée une petite armoire fermant à clef ; une chaise, un porte-manteau, des rayons complètent l'ameublement.
Les murs sont lambrissés à hauteur d'homme en bois de chêne. Tout est parfaitement disposé pour la ventilation. D'abord au dessus de la porte s'ouvre une embrasure tressée d'un grillage en fer. La fenêtre n'a qu'un battant, mais se compose de deux pièces superposées. La partie inférieure s'ouvre sur des gonds comme toutes les croisées ; l'autre est à bascule, et au moyen d'un système de ficelles et de poulies on peut faire jouer la charnière du dehors. Le concierge peut ainsi de sa loge donner de l'air aux chambres sans devoir y entrer, et fermer les croisées en cas de mauvais temps et d'absence du locataire.
La même distribution se répète aux deux étages supérieurs. Reste un grenier parfaitement disposé pour le séchage du linge et le dépôt des provisions.
Voilà pour la maison en elle-même. Passons au règlement.
Pour franc 1,25 par semaine, l'ouvrier a droit :
1. Au logement, c'est-à-dire au couchage.
Il lui est alloué des draps de lit propres toutes les trois semaines, et deux essuie mains par semaine ;
2. Au chauffage de la cuisine où il peut prendre ses repas ;
3. A l’éclairage ;
4. A l'eau chaude tout le jour ;
5. A la jouissance du bain et de la buanderie ;
6. A l'usage du jardin, de la cave, du grenier ;
7. A l'instruction. Les leçons qui portent sur la lecture, l'écriture (en français et en flamand), les quatre règles d’arithmétique, le dessin linéaire, les éléments de l'histoire et de la géographie, se donnent trois fois par semaine, de 8 à 10 heures ;
8. A l'usage de la bibliothèque ;
9. Aux outils de son état, sans rétribution.
M. Pauwels promet 10 pour 100 de rabais sur le franc 1,25 de la location aux ouvriers qui suivent assidûment les cours. Il leur est donc laissé toute faculté de s'en abstenir.
La liberté en dehors de ce point est également quasi complète. Il suffit de rentrer au son de la cloche de retraite, c'est-à-dire à onze heures du soir et, de se priver de fumer ailleurs qu'à la cuisine et au jardin.
Ce simple exposé suffit pour démontrer que nulle part une œuvre philanthropique n'a été fondée sur des bases aussi sérieusement charitables."
L'illustration publiait en outre le plan général de la cité Pauwels et un dessin représentant la façade.
Un autre Jules, VIEUJANT a eu droit à une rue parce qu'il collabora avec Jules Delhaize à la création de l'industrie de produits alimentaires en question.
Et pour respecter la hiérarchie, signalons que si Delhaize reçut sa rue en juin 1904, l'autre Jules dut attendre le 29 juillet 1905 pour être plaquifié à son tour.
Cette rue pose un problème. On affirme qu'elle doit son nom à l'architecte Joseph Diongre, auteur des plans de la nouvelle église Saint Jean-Baptiste à Molenbeek et des bâtiments de la R.T.B. place Flagey. Or, le bâtiment de la place Flagey n'a été commencé qu'en 1935 (par Joseph Diongre, bien sûr) et l’église Saint Jean-Baptiste à Molenbeek a été inaugurée vers la même époque. Il semble donc malaisé d'admettre qu'en 1923, la cité Diongre de la commune prétendait prévoir le talent de l'architecte en question. D'où vient la confusion ? Diongre devait être un propriétaire molenbeekois et, sans doute, fut-il parent de Joseph. En tout état de cause, il est plus intéressant de s'arrêter à l'architecte. Pour une fois que la toponymie a des presciences !
Rien n'a dû lui faire davantage plaisir, au long de sa vie, que de pouvoir flâner dans ces rues de Molenbeek qui, si nombreuses, rappellent la musique...
Mais celui-ci d'industriel se passionna pour Bruxelles port-de-mer dont les installations occupaient une partie importante du territoire molenbeekois. Il alla jusqu'à faire éditer à ses frais un journal molenbeekois sous le titre « Bruxelles-Maritime ».
Le bon peuple de la commune avait baptisé Dubrucq Jean-Port-de-Mer.
Il reçut sa plaque en 1918. Il y avait quinze ans que l'artère portait le nom d'avenue de Terneuzen.
Elle coupe la chaussée de Ninove et se trouve à proximité ou sur la route des campagnes brabançonnes. Le vendredi s'y tennait un marché aux chevaux pittoresque et animé.
la chanson des rues de Molenbeek Saint Jean de Jean Francis (Louis Musin éditeur Bruxelles)
"Entre les rues de l'Indépendance et de Lannoy (curieuse orthographe pour Delaunoy."
Cette orthographe n'a rien de curieuse, c'est celle des chevaliers de Lannoy qui furent aussi seigneurs de Molenbeek
1329
¤ Mariage de Hughes (1) de Lannoy et Marguerite de Maingoval. Enfants :
- Robert de Lannoy
- Hughes II de Lannoy (futur époux de Marie de Berlaimont).
- Guillebert I de Lannoy
- Jean de Lannoy dit Percheval, seigneur de Molembeek.
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